L'entrée en vigueur de la loi Pacte donne la possibilité aux entreprises d'inscrire une "raison d'être" dans leurs statuts. De nombreux grands groupes comme Carrefour, Atos, Véolia ou Danone se sont empressés de s'en emparer. Mais comment se définit une raison d'être ? Quel projet contient-elle ? Au-delà de la communication, est-ce un levier stratégique ? Ces questions ont été soulevées lors de la rencontre "Idées & Management : la raison d'être un simple slogan ?" organisée ce lundi 17 février, par La Tribune, en partenariat avec la faculté de philosophie de l'UCLy et l'Esdes.

L'ouverture réelle aux nouvelles problématiques stratégiques que sont la diversité, l'inclusion ou encore la dimension sociale et environnementale passe par un retour à soi et une remise en question difficile pour les dirigeants actuellement en poste.

Le secteur de l'Impact évolue aujourd'hui extrêmement rapidement, propulsé par un contexte économique, social et règlementaire qui fait figure d'exemple dans toute l'Europe...

Dans le contexte de taux bas, la mutuelle pilote finement sa stratégie en matière d’épargne et de prévoyance. Des ajustements tactiques accompagnent le travail de fond effectué sur l’activité assurance de personnes.

Quelle est la finalité de l’entreprise ? En 2019, la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation de l’entreprise) a modifié la définition de la société, qui était stable depuis 1804. Cette réforme, comme d’autres à l’étranger, introduit la question des finalités de l’entreprise dans le droit.

Dans la tradition écoresponsable de son groupe familial, le PDG Bris Rocher a adopté ce statut inscrit dans la loi Pacte. Un risque en matière de réputation si les objectifs ne sont pas atteints

Ils transforment leurs sociétés, les dotent d’une raison d’être et assurent œuvrer pour le bien commun.

L’ancienne titulaire du poste de directeur général adjoint de l’Institut supérieur de management public (ISMP) est l’une des voix qui font autorité en matière de gouvernance publique au Cameroun. Enseignante à l’Université de Yaoundé II et professeure associée à Yale University, aux États-Unis, Viviane Ondoua Biwolé a publié une demi-dizaine de livres sur la question. À l’occasion du colloque national sur la modernisation de la fonction publique camerounaise, elle analyse les problèmes qui empêchent les administrations publiques du pays à s’installer dans la performance.