Les entreprises qui le souhaitent peuvent, dans le cadre de la loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises), promulguée le 22 mai 2019, modifier leurs statuts pour inscrire une « raison d’être ». Cette raison d’être est constituée des principes dont la société se dote et pour le respect desquels elle entend affecter des moyens dans la réalisation de son activité. Réfléchir à la raison d’être, c’est réfléchir à la finalité de l’entreprise et définir en quoi le monde serait différent sans elle.

Un chiffre record qui démontre l’engagement des citoyens en faveur de la reforestation, de la protection de la biodiversité et la restauration des sols. Autre chiffre positif : le navigateur recense aujourd’hui 3,5 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France (contre 2,2 millions en 2018) faisant des Français les premiers utilisateurs en Europe devant les Allemands.

L’entreprise, qui possède Yves Rocher et Petit Bateau, grave ses objectifs écologiques dans ses statuts.

Dirigeant d’un incubateur, Didier Rousseau épingle, dans une tribune au « Monde », le discours d’entreprises disant agir « pour le bien commun », sans changer pour autant de modèle économique.

Pendant que les Etats tergiversent, les sociétés haussent d’un cran leurs ambitions en matière d’écologie.

PODCAST. En dix ans, Émery Jacquillat a transformé la désuète Camif en championne de la vente en ligne de meubles écolos fabriqués en France.

La plus grande coopérative agricole française Invivo s’est, en 2019, dotée d’une raison d’être. Elle souhaite désormais devenir une entreprise à mission.

Troisième site beauté en France, en termes de chiffre d'affaires, Yves Rocher a aussi été élu en 2019 site préféré des Français à l'occasion de la Nuit des Favor'i de l'e-commerce organisée par la Fevad.