Si nous pouvions rembobiner ces six derniers mois, il serait fort intéressant de rejouer la journée du 16 mars 2020. À 19 h 59, d’un simple griffonnement sur le script du discours présidentiel adressé aux Français à l’aube du confinement général, le lourd de sens « Nous sommes en guerre ! » évoluerait en un mobilisateur « Nous sommes en care ! ». De quoi mettre encore un peu plus la solidarité et le soin à leur juste place dans la société : au centre.

Sabarot, PME familiale vellave, profite de l'engouement mondial pour les légumineuses.

Dans l’optique de faire évoluer le secteur de la mode, le Slip Français lance une collection de pulls mixtes en laine française et recyclée.

La plupart des études récentes sur les transitions managériales convergent vers un constat alarmant. Avec la résurgence de la pandémie et l’augmentation de l’incertitude, les organisations adoptent de plus en plus des attitudes immobilistes, privilégiant des visages et des stratégies connues, plutôt que des paris disruptifs.

Entre confinement, distanciation sociale ou autre télétravail recommandé, le moins que l’on puisse dire est que l’immobilier de bureau vit une année 2020 mouvementée. Alors que de nouveaux modes de travail émergent et tendent à définir de nouvelles normes, état des lieux avec Alexis Fressard, General Manager chez Ohm-La Maison du Dirigeant.

« Démocratiser le partage de connaissances et d’informations », c’est la mission que s’est donnée PrePeers. Sur son site, les jeunes peuvent choisir leur professeur particulier pour prendre des cours à petit coût ou gratuitement. Et l’entreprise compte les accompagner jusqu’à leurs premiers emplois.

TRIBUNE : Face à la transformation du rôle des sociétés, la raison d’être des entreprises doit s’accomplir dans un esprit collectif et collaboratif. C’est le gage d’une transition sociétale en devenir. Par Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange.

La France, et ses élites politiques notamment, se méfient des entreprises. Accusées de ne défendre que leur intérêt particulier, elles ont de fait une communication souvent bien lisse et sans intérêt pour ne froisser personne. En leur demandant de se définir une « raison d'être » et d'entrer dans le débat public, les entreprises vont devoir sortir de leur zone de confort et prendre position.