Très présents aux États-Unis, les fonds activistes s’installent dans le paysage français. Après Pernod Ricard, c’est au tour de Danone d’être visé.
L’économiste Pascal Perez décrit, dans une tribune au « Monde », le mécanisme qui enrichit fabuleusement les actionnaires des entreprises surendettées. Il appelle à moraliser ces pratiques.